Toujours dans ma fixette Bianchi (c’est passé depuis) un petit course entrée de gamme rouge cette fois. Full Campagnolo Mirage Avanti. Je lui ai changé la tige de selle et la potence.
Bianchi 605 rouge
Auteur : Peperlito
Bianchi 622
Un petit vélo de course des années 90, acier Chromoly, entrée de gamme très plaisant, avec une chouette selle et le bleu-vert « celeste » classique. Un poil trop trop petit pour moi je l’ai revendu assez vite.
VTT Sunn 5000R de 1995, retour vers le turfu
J’avais cinq alertes sur Leboncoin, depuis des mois. Une vieille fixette. C’est fini j’ai trouvé: un de ces VTT mythiques de la marque française mythique, dans ses années mythiques; un VTT Sunn 5000R, taille L, full Deore LX, dans un était proche de la perfection grâce à un passionné collectionneur du côté de Longjumeau, qui me racontait en avoir une vingtaine…
Les chromes sont en parfait état pour un vélo qui a près de 30 ans, 1995 semble-t-il d’après ce catalogue. Les stickers sont refaits. Juste la selle à changer (pour une Vetta certainement; on remet une alerte Leboncoin), un léger voile à corriger à l’avant (petit défi perso) et roule ma poule.
Un sac Brompton compatible tous vélos
J’ai la chance d’avoir plusieurs vélos selon les besoins et les usages, dont un Brompton. Ce vélo anglais est performant et astucieux dans sa catégorie, mais aussi connu pour ses pièces et périphériques spécifiques, peu compatibles avec les autres cycles. C’est notamment le cas des sacs et sacoches, dont la plupart s’accrochent à l’avant du vélo par le bas du sac, au moyen d’un bloc de fixation « QFCBA » pour quick front carrier block assembly, qui s’emboite sur des structures nommées « QFCFA », qui se glissent dans le sac/sacoche. Et tous ces équipements, chers, sont incompatibles avec les autres vélos pour les accrocher aux porte-bagages.
J’en avais assez de devoir changer de sac ou de sacoche quand je changeais de vélo.
Je me suis résolu à risquer la transformation d’un sac Brompton de type Messenger bag, en recourant au rail de fixation Klickfix présent sur une sacoche BTwin. Une opération réversible pour les deux contenants, modulo deux trous à faire sur le dos du sac Brompton. Le rail Klickfix n’était pas accessible en pièce détachée sur sites européens, et comme il devait faire l’essentiel du prix de la sacoche BTwin, j’y a pris le rail. Il se démonte aisément au moyen d’un tournevis cruciforme.
Pour fixer le rail sur le sac, il a fallu en rigidifier le dos. Pour cela j’ai employé une feuille de polyéthylène épaisse, rivetée en trois points, qui épouse et repose sur la structure QFCFA. Ce rajout accueille les vis du rail, une fois percé au moyen de vrilles chauffées. Je crois que les photos parlent d’elles-mêmes.
Un revissage du rail au travers du renfort de polyéthylène et du dos du sac et c’était bon. J’ai roulé avec et ça tient bien en place.
Clic, le sac en place
Le Petit Porteur: un mini-cargo qui en fait un maximum
Nous avons acquis dernièrement un vélo bien particulier, aperçu sur les réseaux sociaux: le Petit Porteur. C’est un vélo cargo « compact ». Ca a l’air antinomique comme ça, mais on comprend dès qu’on voit le profil: petites roues de 20 pouces et deux racks presque démesurés à l’avant et à l’arrière, comme un Brompton qui se prendrait pour un tracteur… Ce modèle fait la promesse de pouvoir emporter emporter 100 kg de charge.
Notre besoin était plus précisément le suivant: citadins sans voiture, couple avec trois enfants jusqu’à 10 ans, il nous fallait un vélo cargo ou porteur qui nous permette de faire les courses aux alentours et déplacer un voire deux enfants en même temps, pour leurs activités par exemple. Usage familial donc. Dernière contrainte, pas la moindre: notre habitation collective comprend un local à vélo mais au sous-sol, accessible seulement par escalier ou par un petit ascenseur (eh oui, les normes d’habitation sont parfois bêtes). Pour ça, les cargo habituels type biporteur ou longtail coinçaient, sauf à le laisser dormir dehors…
Sur les réseaux sociaux, plusieurs professionnels en disaient un bien fou pour leurs activités respectives, il était éligible à la subvention régionale pour le vélos cargo, il répondait à notre besoin un peu spécifique alors zou, on a commandé chez HPA, l’entreprise francilienne qui l’a conçu (établie à Boulogne-Billancourt et disposant d’un magasin à Châtillon-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine) .
Le site de HPA comprend un « configurateur », des choix d’options à faire pas à pas, qui est très bien fichu.
La configuration retenue:
- un rack en alu, pour l’avant uniquement (option: panier en mailles), car je comptais mettre affaires et charges à l’avant et les enfants à l’arrière (option: repose-pieds);
- la transmission de base en Shimano ‘Nexus’ 3 vitesses, vu que je voulais un cargo « plan-plan » des alentours… Dans le même esprit j’ai coché le guidon « cruiser » et la potence courte, pour une position droite. J’ai retenu également la béquille « cargo » (j’ai eu un longtail dans le temps: on ne peut charger sereinement des enfants ou des courses sans une béquille large et stable);
- la selle et les garde-boue de base. J’ai rajouté l’antivol type « menotte » Abus ‘Tectic 4960 LH NKR’. J’ai tout mis en tout noir (car c’est connu et prouvé: les vélos noirs sont plus rapides…).
Le paiement se fait par virement, confirmation de commande à réception…
Le vélo m’a été livré deux semaines plus tard. A la remise j’ai fait le tour du quartier pour le tester, j’ai tout de suite été emballé par le côté léger, nerveux, roulant et agile du vélo, avec ses roues de 20 pouces et son freinage mordant Shimano hydraulique. Les sensations sont proches de celles de conduite d’un Brompton…
Je l’ai testé plusieurs semaines avant d’écrire cette revue.
Je ne pensais pas au début mais je l’ai utilisé pour mon trajet vélotaf, en lieu et place du vélo de type hollandais que j’utilise habituellement. Là encore j’ai été agréablement surpris: position, caractère roulant, tout nickel R.A.S., j’obtiens des temps de trajets à peine plus longs (sur 12 kilomètres), avec la même impression de sécurité malgré la pénombre le soir et un revêtement déglingué par endroits. Je suis de grande taille, ma compagne plus petite, le vélo convient aux deux grâce au réglage rapide. Mon regret est sur la transmission: j’aurais pu et dû prendre les options au-dessus! Il y a un autre Nexus et un Alfine, ça aurait pu valoir le coup…
Pour le « transport de troupes » et les courses c’est aussi concluant. Le rack avant et son panier accueillent tout et large: cartables des enfants, pizzas, courses de la semaine, etc. La béquille est très bien, stable, et assez bluffante car elle se replie doublement, le long de la roue. Les enfants grimpent à deux à l’arrière, vite et facilement. Je n’ai qu’à trouver ou bricoler une planche rembourrée et ils auront un meilleur confort. Si j’enlève le panier je dois même pouvoir installer le 3e enfant à l’avant (pas l’utilité car ils ne vont pas tous en même temps aux même activités) mais à tester un jour, pour rigoler…
Côté stockage, astucieux: le vélo se renverse sur son rack avant et tient ainsi tout droit. Je passe l’ascenseur vite fait bien fait, et même plus facilement qu’avec mon vélo standard.
Côté style enfin: une de mes filles est douée en dessin et m’a décoré le panneau central (amovible) du vélo avec des marqueurs de type ‘posca’, pour un résultat qu’on adore!
Bref, on est ravi de ce vélo complémentaire pour notre vie citadine et familiale sans voiture.
[edit] Par la suite j’ai installé un deck de skate à l’arrière, pour davantage de confort des passagers.
Vélo porteur Cycleurope (vélo de facteur)
LE VELO A ETE VENDU DEPUIS.
Bonjour,
Je vends un vélo de postier de la marque Cycleurope (vélo réformé de la Poste). Années 90 et taille M je crois.
Il a été repeint en gris et un peu modifié au niveau du cintre et de l’arrière, de manière à pouvoir transporter deux enfants (petits) sur courtes distances.
Quelques précisions d’équipement:
- Pneus Schwalbe « big apple » récents
- 4 Vitesses dans le moyeu (Nexus 4)
- Grand panier à l’avant
- Antivol de Cadre + clés
- Pas d’éclairage
- Solide béquille centrale
- Rappel de direction
Je le vends complet 150€. Au besoin je le vends sans le siège enfant GMG, 130€ dans ce cas.
Visible dans le 19e arrondissement le soir et le weekend ou dans le 1er arrondissement (Palais royal musée du Louvre) le midi voire aux horaires de bureau. Me faire signe en commentaires.
Vélo de course 70s Mercier taille 56
A vendre à Paris, pour cause de départ à l’étranger, un vélo de course Mercier de la fin des années 70.
C’est un vélo haut de gamme, en acier « brasé main » dixit mon vélociste (en témoignent les dorures sur les soudures en photo 3). Il est très léger et nerveux.
Sur son état: il y a quelques traces de choc/rouille ici ou là mais vraiment pas grand-chose.
J’ai mesuré 56 en taille, mais c’est pas une science exacte et c’est peut-être un 57.
Les équipements sont les suivants: dérailleurs Simplex, pédalier Stronglight/Rigida; roues Mavic, étriers de frein Mafac, poignées Sulky, selle Italia. Les pédales je ne sais plus.
Il a été révisé et reguidoliné par les experts de JPCycles (rue des Chauffourniers, 19e) pour courir la dernière course ‘Anjou vélo vintage’ (on lui avait changé la roue arrière – ça se voit aux pignons qui sont neufs), et il n’a pas quasiment pas servi depuis. Les deux pneus sont neufs, il est prêt à partir.
L’annonce sur le site Leboncoin est parue: https://www.leboncoin.fr/velos/956543337.htm.
Je le vends 200€.
Notre Yuba Mundo VAE est à vendre
[UPDATE: LE VELO A ETE VENDU DEPUIS]
En raison d’une mutation à l’étranger, dans un pays tropical pas génial pour le vélo électrique, notre Yuba Mundo VAE va être à vendre.
J’en suis triste car j’avais beaucoup investi dans ce vélo et que toute la famille en a bien profité, plein de bons souvenirs…
Il sera disponible fin juin; notre départ est en juillet, j’en ai encore besoin d’ici là.
Comme il est tout équipé (près de 3 500€ de factures), qu’il n’a que 6 mois d’utilisation et qu’il devrait compter 600 ou 700 km au compteur, je le mets en vente à 2900€ et c’est négociable, à discuter.
Voici le package:
Équipements Yuba:
- Yuba « Elmundo 21 lux black »
- garde-corps « Monkey bars »
- Repose-pieds métal « Leg-up »
- Repose-pieds en bois « bamboo boards »
- Coussins « soft spot » x2
- Panier avant « bread basket »
- Sacoche de flanc décrochable « go getter »
Équipements autres:
- antivol Abus « Amparo » (« menotte » + chaîne)
- Système de freinage hydraulique Shimano « Deore » BL-M615 et BR-M615
- Repose-pieds additionnels pour les haubans arrière, pour transporter un 2e enfant petit.
Test et autres détails, sur le système électrique notamment, dans le papier précédent. Il est d’ores et déjà visible à Paris, dans le 1er et le 19e arrondissement (contacts en commentaires si vous voulez; je mettrai aussi plus tard une annonce sur Leboncoin).
De plus, je mets également en vente un vélo de course Mercier des années 70s (taille moyenne) et aussi possiblement un vélo de ville Giant « Ligero CS2 LDE » (grande taille); papiers et annonces détaillées à suivre…
Un vélo cargo multi-gosses: Yuba Mundo
J’habite à Paris, j’ai trois enfants et je n’ai pas de voiture (c’est inefficace et coûteux, au besoin je préfère en louer ou utiliser taxis et VTC).
Je circule à vélo au quotidien, et pour me déplacer avec mes enfants j’ai essayé diverses configurations. Quand j’en avais que deux, j’ai utilisé un temps un moederfiets (« vélo de maman ») : un vélo classique équipé d’un siège enfant derrière et d’un autre devant, sur la fourche. Puis mes filles ont grandi et j’ai utilisé un vélo porteur de la Poste, dont j’ai bricolé et rallongé l’arrière pour y mettre les deux. Enfin j’ai eu une troisième fille, j’ai dû rechercher autre chose.
Une option était le bakfiets, le cargo bike hollandais avec la caisse à l’avant. Mais je n’ai jamais trop senti le fait de mettre les enfants devant le conducteur, et assez bas par rapport à la route. Je me suis donc dirigé vers les cargo bikes dits « longtail » : un vélo rallongé à l’arrière. Les plus connus sont le Yuba « Mundo », le Surly « Big Dummy » et le Kona « Ute ».
On emporte aisément 3 enfants de 3 à 6 ou 7 ans…
Comme j’habite en haut de côtes à Paris, entre la place des fêtes et les Buttes-Chaumont, j’avais besoin d’une assistance électrique.
Tout ça m’a amené vers le Yuba « Mundo », davantage distribué, bénéficiant de plusieurs versions ainsi que d’une grande gamme d’accessoires spécialement prévus pour transporter des enfants. A mon grand regret, je n’ai pas trouvé d’équivalent chez des fabricants européens…
J’ai donc acheté un « Yuba ElMundo 21 Lux » au magasin Cyclable du 12e arrondissement de Paris. On me l’a livré en octobre, en voici le test après 5 mois d’utilisation.
Un châssis et des accessoires fantastiques
Le cargo bike « longtail » c’est comme un vélo classique, ça s’aborde pareillement, mais ambiance tank : plus gros, plus lourd et plus encombrant, du fait notamment des deux repose-pieds intégrés au châssis ; ou encore de deux accessoires que j’ai achetés : le panier « bread basket » qui rallonge le vélo à l’avant et les « monkey bars », le garde-corps pour les enfants à l’arrière.
Guidon, commandes et panier « bread basket ».
Vraiment massif donc. La documentation annonce 22 kilos, et ça c’est sans l’assistance électrique et les accessoires…
Ca reste bien maniable, avec et sans les enfants. Dans tous les cas, même avec trois gosses, c’est très stable; le garde-corps est parfaitement rassurant, même quand les enfants chahutent à l’arrière !
Le vélo dispose d’une solide béquille centrale qui permet aux enfants de l’escalader pour s’y installer, même à plusieurs en même temps, sans qu’il chavire. Il y a également un ressort de rappel de direction, qui aide à la stabilité. Le vélo est livré avec des jupes sur la roue arrière. La fourche est très réglable, le guidon large, et avec quelques réglages ça donne un vélo confortable et agréable, un vrai fauteuil.
La transmission SRAM (3×7) est très bien jusqu’ici. L’éclairage est efficace.
Je le redis : les accessoires sont le point fort de ce vélo, je les conseille vivement, ils sont utiles, bien pensés, costauds, bien finis. La sacoche de flanc « go-getter » permet d’emporter 80 kilos d’affaires ; le panier « bread basket » est nickel pour les petites courses ou les affaires des gosses, les repose-pieds en bambous donnent une belle touche au vélo…
La sacoche « go-getter ». J’ai aussi bricolé un dossier pour l’enfant à l’arrière c’est bien plus confortable.
Le garde-corps, les coussins, la jupe de roue, les repose-pieds.
La partie électrique : très bien jusqu’ici (mais je manque de comparaisons)
La configuration reste un peu floue pour moi, la documentation et les explications du distributeur ne sont pas des plus claires. Ce qui m’a été vendu diffère du modèle commercialisé aux Etats-Unis sous le nom de modèle « ElMundo », avec le moteur dans la roue arrière (système du fabricant Bionx). Pour ma part, j’ai le moteur dans la roue avant, j’ai dès lors l’impression qu’il s’agit d’un modèle « Mundo Lux » électrifié, ceci par une entreprise allemande si j’en crois la documentation qui m’a été fournie (E-bikes Solutions). Dans le détail :
- moteur Bafang 8fun BPM
- batterie 13,6 AH
- commande EBS IPS/IES Display.
Le moteur Bafang dans la roue avant.
J’en suis tout à fait satisfait même si je manque d’expérience sur ce type d’équipement, car je n’ai jamais eu de vélo électrique auparavant. L’autonomie me paraît bien, enfin à la mesure de l’utilisation qu’on en fait : il y a cinq « vitesses » d’assistance, plus on monte plus ça s’use (super logique !), mais la première apporte déjà une assistance appréciable, suffisante même chargé. Au final, une charge me dure généralement la semaine pour mon vélotaf (chargé d’un enfant sur une petite partie du trajet – les deux autres vont à l’école à pied juste à côté).
Pneus et freins : des périphériques merdiques, que j’ai changés
Côté déceptions : mon vélo m’a été livré avec des pneus Freedom « Cruz », manifestement bas de gamme. Je crois que c’est le cas de tous les montages importés.
Dans le mois qui a suivi la livraison, j’ai eu droit à deux crevaisons, à l’avant puis à l’arrière, dont une fois avec les gosses. On a dû rentrer à pied. J’ai donc rapidement investi dans des pneus réputés d’une certaine marque allemande… Depuis, aucun souci.
Deuxième regret : le système de freinage. Le Yuba m’a été livré avec des freins Tektro à disques mais d’entrée de gamme, à tirant simple. Renseignements pris, ils sont beaucoup trop « légers » pour un tel vélo. L’un des deux déconnait (disque déformé : des à-coups de freinage à chaque tour), l’autre couinait méchamment. Ils étaient difficiles à régler et se déréglaient vite.
J’ai donc modifié la configuration avec un système plutôt haut de gamme : des freins à disques Shimano « Deore » hydrauliques et à double tirant. Ca m’a coûté plus de 200 € de plus chez mon vélociste préféré (Bicycl’Art, à Louis Blanc), mais j’ai désormais un freinage parfait.
Bilan : ça vaut le coup !
Je l’utilise un jour sur deux pour aller au travail (quand je dépose un enfant, sinon j’utilise mon vélo « analogique » habituel). Je l’utilise chaque weekend une ou deux fois, notamment pour emmener les enfants aux activités ou se balader, côté canal de l’Ourcq par exemple. Les gamines adorent ce vélo.
Il m’arrive aussi régulièrement d’emmener ma compagne pour la déposer au boulot. Les gens nous regardent un peu bizarre mais OSEF 🙂
Cet équipement est cher : près de 3 000€ avec une bonne mesure d’accessoires et la meilleure batterie. Mais il remplace avantageusement la voiture (qui rappelons-le coûte 4500 € par an en moyenne), pour une utilisation bien plus facile au quotidien.
J’ai quand même toutefois deux avantages notables pour l’usage d’un tel vélo, côté stationnement : j’ai un box à voiture inutilisé dans le parking de mon immeuble ; et une place où le mettre chez mon employeur. Ca aide…
Les photos ont été prises au parc de la bergère.
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